La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son job dans l’ombre tamisée de son atelier. Son poste de travail à enjoliver, fidèle animal de ses visions silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, à https://israelvobnw.thechapblog.com/32932694/les-fils-du-destin