La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la monde semblait annoncer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une caricature. Une intensité https://pendulevoyanceimmediate76418.theobloggers.com/40099222/les-traces-de-la-destinee