Le carnet du soldat, dès maintenant noirci de notes fiévreuses, reposait rapproché de la radio. Il avait passé l'obscurité à assembler une faille dans le message appris, à démonter mentalement tout changement de la contagion. Le patronyme sûr était le sien, têtu d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://garrettqzflo.blog-eye.com/34027956/le-nombre-froid