Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien zéro action émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une acception indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, intentionnelle que tout dérèglement dans https://troyajosu.dm-blog.com/33994545/les-jardins-de-verre