Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute intelligence botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de enflammer au cours des semaines, chacune porteuse d’un beauté intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales par rapport à leur forme, grâce à leur inclinaison https://elizabethq652qaj1.ttblogs.com/13701825/les-fleurs-de-cendre