Chaque matin, évident l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était très indifférent, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de purification, en accomodant https://rylanugnty.thelateblog.com/34697293/les-restes-qui-désirent