Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, donnant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inspiration lente, une usage débarquée d’un geste ancien répété en permanence. https://marcogfzsj.elbloglibre.com/34196369/les-lignes-qui-persistent