Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inspiration lente, une tic parvenue d’un geste ancestral répété en permanence. https://voyancegratuiteenligneimm29527.anchor-blog.com/14535290/les-silhouette-qui-persistent